Nous nous remettons tout juste du décalage horaire, du voyage, accueillis par Damien et sa trompette (vous souvenez vous? A Islas Mujeres, il jouait déjà si bien…)
Ca y est: on a déconnecté de nos vies métropolitaines
Nous prenons l’annexe pour faire un petit tour à Fronteras histoire de marcher un peu.
Bien étrangement, tout est bien calme: effectivement nous sommes le 25 décembre. Christophe, Sandrine, Claude et Michèle découvriront donc l’animation si propre à Fronteras à notre retour.
C’est bien beau, mais si on partait? Michel et Nathalie sont prêts avec Tao, leur catana récemment acquis:
on part donc à plusieurs bateaux et on remonte doucement le Rio Dulce.
toujours aussi beau et sauvage
Les pélicans passent tranquillement au ras de l’eau
pendant que d’autres passagers s’invitent sur les bateaux
La vie fluviale et sauvage reste omniprésente et ne manque pas de nous impressionner.
Nous arrivons à Livingstone, où vit la communauté Garifunas, descendants des noirs antillais. Leur teint de peau est ainsi plus noir qu’ailleurs au Guatemala. Livingston n’est accessible que par voie d’eau: c’est donc une petite enclave isolée du reste du monde.
C’est ici que nous ferons nos formalités de sortie du Guatemala: c’est l’occasion d’une visite des lieux.
Une ballade dans les rues permet de s’imprégner de l’ambiance locale.
Après mûre réflexion, je ne vais pas me faire faire de mèches…
Lavoir
A Livingston, nous sommes à la porte de l’Atlantique: de retour à bord, nous ne manquons pas de le constater… C’est l’appel du large…
Nous voilà donc repartis pour notre premier mouillage à Cabo tres .
Bon coin pour déguster quelques langoustes avec les équipages des bateaux amis
Etape suivante: les Sapodilla cays au Belize. La météo est mitigée: nous sommes loin du ciel bleu qui avait alimenté nos fantasmes à noter départ de France. Mais cela ne va pas nous empêcher de faire un premier snorkelling,
ni de fêter l’anniversaire de Christophe avec confection d’une bûche de Noël « maison bateau » (enfin quoi, vous ne croyez pas que sous prétexte d’être en bateau, nous devons mal manger?)
Le repas achevé, au vu des prévisions météo qui donnent un peu de vent cette nuit et du vent de face ensuite, nous décidons de ne pas nous arrêter ici pour la nuit. Nous partons pour Utila au Honduras et naviguerons de nuit… aaaah, ça me plait.
En bateau, on a toujours quelque chose à bricoler pendant les navigations: Sandrine s’y met et répare sa tongue avec les moyens du bord!
Après une nuit ponctuée de prises de quart et quelques heures de navigation, nous arrivons en milieu de journée au Honduras…
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