Afin de dessiner le plafond, j’ai réalisé un patron à partir d’un morceau de bache de protection (celles que l’on utilise lorsque l’on peint les murs, ça n’est pas très cher) : scotcher avec du double face un morceau de bache un peu plus grand que le plafond sur le plafond du van. Avec un marqueur indélibile, tracer le contour du plafond, ne pas oublier de marquer les trous existants dans les renforts (je me suis reprise dans ces trous pour fixer l’habillage du plafond afin d’éviter les percements supplémentaires).
Marquer l’emplacement des spots lumineux en s’assurant qu’à ces endroits il y a la place suffisante pour mettre le spot et son fil électrique (éviter de mettre un spot pile sur un renfort)
Marquer l’emplacement des aérations.
Il faut ensuite découper la bache suivant le tracé et la placer sur le contre plaqué pour la découpe.
Pour le plafond un contreplaqué de 5mm marine, poncé et vernis teinte chêne. Pour la finition, j’ai poncé au papier de verre en partant de 120 pour aller progressivement jusqu’à 800, vernis, reponcé à 800, vernis (3 couches).
La fixation du plafond a été un peu plus sportive, j’ai utilisé des étais « maison » (des batons de randonnée téléscopiques bien calés…) pour maintenir le plafond le temps de poser les fixations.
Après divers essais avec plusieurs types de fixations, au final, ce qui m’a le plus convaincue sont les écrous à sertir car c’est entièrement démontable (prendre des écrous inoxydables). On peut également opter pour des vis auto-perforantes spécial métal.
A noter que le plafond n’est pas plat, il est légèrement courbé : afin de bien épouser cette courbe et garder ainsi le plus de hauteur « sous plafond », il faut des fixations assez solides et un plafond assez souple. Le contre plaqué de 5mm et assez bien adapté et je me demande si du 3mm n’aurait pas été mieux.
Il etait une fois...Demain 