Nouveau mouillage, nouvelles découvertes
On ne se lasse pas de ces paysages incroyables.
Renaud tente une sortie kite au départ du bateau… Pas très élégant mais il parvient finalement à se mettre sur l’eau pendant que nous trinquons dignement au coucher du soleil.
Arrivée à Great Guana Cay, la vie se déroule tranquillement ici. Il ne doit pas y avoir des masses de touristes sur cette île.
Nous déambulons dans l’île à la recherche de l’aéroport qui nous sert de prétexte pour arpenter l’île.

Sur la porte d’entrée du dispensaire local
Des enfants nous attrapent un lézard qui nous accompagnera le reste de notre visite, d’autres s’amusent de jeux simples, une dame tisse de quoi faire des sacs.
L’aéroport se compose d’une unique salle: salle d’embarquement, vente de tickets, infos locales: il n’y a personne et tout est ouvert y compris l’accès au parking avion et à la piste… pas de contrôle de bagages ici!
Julie a repéré un cocotier… mais comment aller chercher les noix?
Renaud nous montre un truc qu’il a appris à l’armée (j’imagine d’ici ses collègues regardant la photo…)
Pas vraiment concluant et cela fait rire le seul passant local!
Finalement en grimpant sur les épaules de Guilhem…
Partie de domino endiablée, mélée de cris et de coups de poings sur la table: un spectacle en soi.
Retour à la vie du petit port : un bateau arrive et c’est la grande animation de l’île.
Sur le petit quai un ballet incessant de locaux, transporteurs s’agite.
Ils viennent chercher les marchandises : eau, nourriture, matériaux de construction, il y a même une voiture.
Et pendant que le bateau se décharge, les enfants se jettent à l’eau melant les ploufs et les rires. Tout ça dans une ambiance bon enfant.
Renaud et Guilhem ne se gênent pas pour se baigner avec les gamins
De retour sur le bateau, Julie regarde la prise
pas encore mûr…
Tandis que Renaud et Guilhem s’occupent…
La vie de bateau, c’est aussi ça!
Le temps passe vite: Il nous faut déjà remonter vers notre point de départ…
Nous choisissons de retourner vers Staniel qui nous a laissé un goût de « j’en veux encore »